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Info tabac
Fumer augmente le risque de complications de toute chirurgie.
Arrêter de fumer 6-8 semaines avant l’intervention diminue considérablement ce risque.
Si vous fumez, parlez-en à votre médecin, votre chirurgien et votre anesthésiste.
Nous pouvons vous aider.
Vous pouvez aussi appeler gratuitement la ligne
3989
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Jours et horaires de consultation
Clinique du Parc
50 rue Emile Combes
34170 CASTELNAU LE LEZ
Lundi de 9h à 17h
Mardi de 9h à 19h
Mercredi de 9h à 17h
Jeudi de 9h à 19h
Vendredi de 9h à 17h
Espace H2O
55 Avenue de Melgueil
34280 LA GRANDE-MOTTE
Clinique Via Domitia
235 Chem. des Alicantes,
34400 LUNEL
Une opération se vit mieux sans tabac
Arrêter de fumer avant une opération et jusqu’à la cicatrisation garantit :
- 3 fois moins de complications chirurgicales
- 2 fois moins de passages en unité de réanimation
- 1 séjour plus court à la clinique
Vous fumez !
Lors de votre 1ère consultation avec le chirurgien, le sevrage tabagique total s’impose ;
L’arrêt du tabac permet de
- diminuer les complications respiratoires
- diminuer le risque de fuite au niveau de l’agrafage gastrique ou de la couture digestive
- diminuer le risque de mortalité
L’accompagnement par un tabacologue médecin ou infirmière est possible.
Les coordonnées du centre d’addictologie vous seront remises par votre chirurgien ainsi que le document à remplir avant cette consultation.
Lors de votre hospitalisation, un dosage de la cotinine urinaire ou un test au monoxyde de carbone pourront être effectués.
Il permettra de confirmer en cas de doute le sevrage tabagique. Si ce n’est pas le cas, votre intervention sera annulée.
Ils interviennent presque immédiatement !
20 minutes après la dernière cigarette : La pression sanguine et les pulsations du cœur redeviennent normales
8 heures : la quantité de monoxyde de carbone dans le sang diminue de moitié. L’oxygénation des cellules redevient normale
24 heures : le risque d’infarctus du myocarde diminue déjà ; les poumons commencent à éliminer le mucus et les résidus de fumée ; le corps ne contient plus de nicotine
48 heures : le goût et l’odorat s’améliorent ; les terminaisons nerveuses gustatives commencent à repousser
72 heures : respirer redevient plus facile ; les bronches commencent à se relâcher et on se sent plus énergique
2 semaines à 3 mois : la toux et la fatigue diminuent ; on récupère son souffle, on marche plus facilement
1 à 9 mois : les cils bronchiques repoussent, on est de moins en moins essoufflé
1 an : le risque d’infarctus du myocarde diminue de moitié ; le risque d’accident vasculaire cérébral rejoint celui d’un non fumeur
5 ans : le risque de cancer du poumon diminue presque de moitié
10 à 15 ans : l’espérance de vie redevient identique à celle des personnes n’ayant jamais fumé